Encore un jour de plus dans ce monde de merde.
Jamais elle n'avait jamais autant haï cette vie, avec ces pantins ridicules bafouant toute la beauté de la vie, de la nature, et même des pouvoirs uniques de chacun. Des pantins avides de pouvoir noircissant de plus en plus le monde.
Si l'arrivée des machines et des nouvelles technologies, s'ensuivant de folles inventions toutes aussi intrépides, originales que malsains et morbides, avaient suscité de forts débats et querelles il y a de cela quelques années, maintenant la peur de la mort et de la cruauté de la Guilde des Alchimistes chez les gens avaient entièrement étouffé la peur des machines. En effet, les machines, sans âme, tuant toute humanité, mettant des milliers de personnes à la rue au chômage, inspiraient à présent la sécurité par rapport à la dangerosité des sentiments humains, de leurs fantasmes horribles, répugnants, sales, où la vie humaine n'est plus qu'objet et propriété, tout cela dans un but tout à fait illusoire et sans issue : la quête du pouvoir, la volonté de contrôler le monde. A quoi cela va t-il mener ? A la catastrophe bien évidemment, à la mort d'un monde, d'un peuple. Et pour rien en plus, car ils ne domineront jamais le monde.
La vie n'avait plus rien à lui apporter. Edelweiss n'avait plus confiance en personne. Elle pourrait tout aussi bien se tuer, elle n'avait pas peur de la douleur ni de la mort. La mort serait enfin repos, douceur, cocon. Tout ce quoi elle avait toujours aspiré.
Une larme coula. Triste monde. Triste vie. Plus aucun espoir, et une solitude infernale. Sale sentiment d'abandon qui la rongeait. Putain de nostalgie ! Un sentiment si fin, subtil, doux comme une caresse, venant tout juste la fragiliser et lui briser le coeur dans un monde sans pitié, vain, cruel. Pourquoi la vie était-elle si dure avec elle ?
Un bruit. Quelqu'un était là.
Edelweiss se releva et ravala ses larmes qui rentrèrent à l'intérieur de ses yeux comme si elles n'avaient jamais pleurées. Elle sortit ses griffes, tendit son esprit vers un quelconque être humain et tenta de déceler son humeur, ses sentiments, ses intentions. Elle était en position prête à combattre, et à tuer. Quiconque l'approcherait serait tué immédiatement.
Sa tête était mise à prix par la Guilde des Alchimistes qui voulaient lui voler tous ses pouvoirs pour contrôler le monde et faire encore plus de mal qu'ils ne l'avaient déjà fait. Si elle devait mourir, elle mourrait seule, mais jamais elle ne se rendrait ni même se ferait tuer par cette créature maudite que sont les humains.
Un homme se trouvait là. Elle n'arrivait pas à le percevoir, il n'était pas tout proche. Edelweiss hésitait sur les intentions de cet homme, dh'baitude elle ressentait leur méchanceté ou leur stupidité humaine de loin. Une légère odeur de feu rôdait dans la pièce.
Edelweiss se méfiait. Elle ne pouvait pas fuir, il la verrait, la poursuivrait, appellerait peut-être des secours et elle serait mise à découvert.
Bien que le silence et l'immobilité lui étaient insupportables dans ces conditions, elle préféra attendre la réaction de l'inconnu avant d'agir.
Jamais elle n'avait jamais autant haï cette vie, avec ces pantins ridicules bafouant toute la beauté de la vie, de la nature, et même des pouvoirs uniques de chacun. Des pantins avides de pouvoir noircissant de plus en plus le monde.
Si l'arrivée des machines et des nouvelles technologies, s'ensuivant de folles inventions toutes aussi intrépides, originales que malsains et morbides, avaient suscité de forts débats et querelles il y a de cela quelques années, maintenant la peur de la mort et de la cruauté de la Guilde des Alchimistes chez les gens avaient entièrement étouffé la peur des machines. En effet, les machines, sans âme, tuant toute humanité, mettant des milliers de personnes à la rue au chômage, inspiraient à présent la sécurité par rapport à la dangerosité des sentiments humains, de leurs fantasmes horribles, répugnants, sales, où la vie humaine n'est plus qu'objet et propriété, tout cela dans un but tout à fait illusoire et sans issue : la quête du pouvoir, la volonté de contrôler le monde. A quoi cela va t-il mener ? A la catastrophe bien évidemment, à la mort d'un monde, d'un peuple. Et pour rien en plus, car ils ne domineront jamais le monde.
La vie n'avait plus rien à lui apporter. Edelweiss n'avait plus confiance en personne. Elle pourrait tout aussi bien se tuer, elle n'avait pas peur de la douleur ni de la mort. La mort serait enfin repos, douceur, cocon. Tout ce quoi elle avait toujours aspiré.
Une larme coula. Triste monde. Triste vie. Plus aucun espoir, et une solitude infernale. Sale sentiment d'abandon qui la rongeait. Putain de nostalgie ! Un sentiment si fin, subtil, doux comme une caresse, venant tout juste la fragiliser et lui briser le coeur dans un monde sans pitié, vain, cruel. Pourquoi la vie était-elle si dure avec elle ?
Un bruit. Quelqu'un était là.
Edelweiss se releva et ravala ses larmes qui rentrèrent à l'intérieur de ses yeux comme si elles n'avaient jamais pleurées. Elle sortit ses griffes, tendit son esprit vers un quelconque être humain et tenta de déceler son humeur, ses sentiments, ses intentions. Elle était en position prête à combattre, et à tuer. Quiconque l'approcherait serait tué immédiatement.
Sa tête était mise à prix par la Guilde des Alchimistes qui voulaient lui voler tous ses pouvoirs pour contrôler le monde et faire encore plus de mal qu'ils ne l'avaient déjà fait. Si elle devait mourir, elle mourrait seule, mais jamais elle ne se rendrait ni même se ferait tuer par cette créature maudite que sont les humains.
Un homme se trouvait là. Elle n'arrivait pas à le percevoir, il n'était pas tout proche. Edelweiss hésitait sur les intentions de cet homme, dh'baitude elle ressentait leur méchanceté ou leur stupidité humaine de loin. Une légère odeur de feu rôdait dans la pièce.
Edelweiss se méfiait. Elle ne pouvait pas fuir, il la verrait, la poursuivrait, appellerait peut-être des secours et elle serait mise à découvert.
Bien que le silence et l'immobilité lui étaient insupportables dans ces conditions, elle préféra attendre la réaction de l'inconnu avant d'agir.